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23 décembre 2012, par James Sacré
Nourrie d’une merveilleuse et difficile passion pour un paysage (celui du Haut Jorat) et ses habitants (des amis paysans), la voix de Gustave Roud apporte à la littérature romande, à toute la littérature de langue française, une qualité de lyrisme à la fois puissant et fragile où le bonheur de vivre (et d’écrire) s’emmêle infiniment au sentiment de la solitude et de la séparation (autant dans le monde que dans les mots).
Quittant avec ses parents la grande ferme de Châlet-de-Brie ("deux valets et une (...)