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14 mars 2014, par Márcia Marques-Rambourg
Le monologue s’installe peu à peu. Dans cette salle obscure, deux atmosphères se forment graduellement. L’espace de l’Homme se vide. Je vois l’improbable prendre forme ; s’élargir en densité. Agir et grandir dans mon esprit trébuchant entre réel et simulacre.
En face de moi, une porte laissée entrouverte. Les mots s’y personnifient, se maquillent, dansent d’un pas marqué, masqué, aigu. Les personnages s’y chosifient. Il est une hiérarchie entre l’Homme et la négation de lui-même ; entre l’esprit et la (...)