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21 octobre 2013, par Jack London
« Le Rêve de Debs » où Jack London exprime en un style direct et avec humour (ce qui ne gâche rien !) son dégoût des possédants et son adhésion au socialisme. Un matin, les notables de San Francisco s’éveillent et se retrouvent confrontés à leur statut d’oisifs : plus de chauffeur, de cuisinier, de femme de ménage… À l’appel du syndicat, les ouvriers ont déclenché une grève interprofessionnelle illimitée. Bientôt, les vivres manquent et la détresse des possédants progresse. Mais l’armée veille au grain. La (...)