En réponse à :
20 mai 2013, par Fabrice Marzuolo
Quand tout ne va pas trop mal, j’entends les oiseaux chanter. Autrement, je n’entends plus grand-chose ; je suis au fond d’un gouffre, qu’une pierre tombe dans cet œil noir, loin de moi l’idée d’une présence au bord du trou que je pourrais appeler à mon secours ; je retiendrais le bruit de la chute, avec au bout, l’indice de la profondeur qui m’enfoncerait davantage encore. Je ne suis pas viable !
Les oiseaux chantent et les hommes aspirent à la joie : piou ! piou ! piou !
Heureux hommes ! Avec des (...)