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6 janvier 2004, par Pierre Campion
À la mémoire de Patrick Le Dantec et Annick Delamarre-Leroy
Longtemps dans ce roman le nom de Proust demeure invisible et caché, ou à peine suggéré : jusqu’à ce qu’il paraisse enfin, en plus grande évidence, signant l’exergue de la troisième partie (p. 439 !). Cependant, presque à chaque instant, le narrateur en son soliloque évoque celui de la Recherche du temps perdu ; Siom et Villevaleix suggèrent invinciblement Méséglise et Guermantes, les grands-tantes, la grand-mère et la mère nous rappellent (...)