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28 novembre 2012, par D.A.F. de Sade
Un homme déjà sur le retour imagina de se marier quoiqu’il eût vécu sans femme jusqu’alors, et ce qu’il fit peut-être de plus maladroit d’après ses sentiments ce fut de prendre une jeune fille de dix-huit ans, de la figure du monde la plus intéressante et de la taille la plus avantageuse. M. de Bernac, c’était le nom de cet époux, faisait une sottise d’autant plus grande en prenant une femme, qu’il était on ne saurait moins dans l’usage des plaisirs que donne l’hymen, et il s’en fallait de beaucoup que les (...)