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13 octobre 2012, par Régis Poulet
Avec ce prix Nobel de littérature 2012 attribué à l’écrivain chinois Mo Yan, l’académie suédoise semble avoir récompensé un auteur se situant dans le ‘juste milieu’ – selon l’expression de Kong-tseu (Confucius pour nous autres). Ni écrivain officiel, bien sûr, ni officiellement dissident, Mo Yan ne distille pas moins par son œuvre un message particulièrement corrosif autant par les situations qu’il imagine que par son art de les raconter.
Pour autant, au-delà des discussions des uns et des autres sur le (...)