En réponse à :
11 octobre 2012, par Frédéric L’Helgoualch
Les regards sont apeurés désormais. La surprise a disparu, place à la peur et la méfiance ! La dame assise près de moi me tourne le dos dorénavant. Inquiète mais urbanité oblige, elle ne pousse pas sa logique jusqu’à changer de siège. On ne sait jamais pourtant, je pourrais essayer de lui becqueter le groin ou de lui arracher les yeux. Bordel ! Je ne l’ai pas vue venir, cette saloperie ! Que fais-je, je descends du wagon ? Je suis loin d’être arrivé chez moi. Mais, ces regards, autour de moi, ces (...)