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15 juillet 2011, par Régis Poulet
Pour finir notre quinzaine en musique, revenons à cette cristallisation des espoirs et des contradictions d’une génération que fut l’été 1967, notamment grâce à cet art dionysiaque qu’est la musique, surtout lorsqu’elle est associée aux hallucinogènes, auquel cas on parle de psychédélisme. En ce qui concerne le détail de ce Summer of Love ’67, on pourra se reporter ici et lire ceci pour mesurer l’importance exceptionnelle de l’année 1967 du point de vue musical.
Retrouvant sans en avoir clairement (...)