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7 juillet 2011, par Jean-Jacques Rousseau
Ce roman ’sentimental’ (en ce qu’il n’est pas mystique) de Rousseau semble retrouver, grâce à son Héloïse lointainement médiévale, le mythe de Tristan. Mais chez le Genevois, le couple adultère n’est plus qu’un dispositif, un obstacle, au sens où Jean Starobinski a écrit : « Rousseau désire la communication et la transparence des coeurs ; mais il est frustré dans son attente, et, choisissant la voie contraire, il accepte et suscite l’obstacle, qui lui permet de se replier dans la résignation passive et dans (...)