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18 avril 2011, par Bernard Pasobrola
La divulgation par WikiLeaks, en novembre 2010, des échanges entre l’ambassade US en Tunisie et le département des Affaires étrangères américain est censée avoir joué le rôle de déclencheur du « printemps arabe ». Ces câbles trahissaient une vision peu flatteuse du pouvoir « sclérosé » de Ben Ali. Cependant, reconnaît le fondateur de WikiLeaks, la teneur de ces messages indiquait clairement que « s’il y avait un conflit entre le régime de Ben Ali et l’armée, les États-Unis ne le soutiendraient pas (...)