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En réponse à :
6 septembre 2010 19:42, par Aliette G. Certhoux
Édito implacablement juste — du moins le ressent-on comme ça. Mais il y a toujours quelque chose d’autre qui arrive en outre du changement, une part maudite, imprévue, un trop plein du flot qui se déverse et qui révèle autrement le territoire inondé lorsqu’il émerge dévasté une fois le déluge fini. Une autre terre, et d’autres semences, peut-être (l’ours à l’endroit où on ne l’attendait pas, c’est le désordre — est-ce vraiment à bannir ? je pense à la phrase de Brecht empruntée à un physicien et que Baudrillard a souvent citée (elle devait sortir de Dialogues d’exilés (?) qu’il avait traduit avec Badia pour (...)