En réponse à :
20 septembre 2010, par Roland Pradalier
J’en étais venu à croire au bonheur et j’appelai printemps de ma vie, les mois qui venaient de s’écouler. Mon ego planté dans la bonne terre d’une carrière qui décollait enfin, avait désormais la taille d’une montgolfière. Il pleuvait sur moi et en abondance, des bienfaits. J’étais arrosé de satisfactions. Ma santé était parfaite, aux dires du docteur Sheba, mon compte en banque arrivait à la limite de l’obésité, et tout semblait s’associer par une concordance des astres pour que je puisse me regarder dans la (...)