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3 janvier 2013, par Jérôme Bourgon
J’en ai longtemps voulu à Bataille d’avoir miné par des photos de supplices les études que j’avais entreprises sur le droit chinois. Comme la plupart de mes maîtres et de mes collègues, je m’appuyais exclusivement sur l’écrit — texte de lois, pièces de procès. Jusqu’à ce qu’un bibliothécaire de la BNF me mette sous le nez les fameuses photographies des Larmes d’Éros. Il m’a fallu du temps pour comprendre l’intérêt qu’elles présentaient. J’ai entrepris de reconstituer les modes d’exécution en utilisant les (...)