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26 juillet 2009, par Aliette G. Certhoux
Fin de vie
Il revient à ma mémoire des souvenirs familiers. Je revois ma blouse noire lorsque j’étais écolier. Sur le chemin de l’école je chantais, à pleine voix, des romances sans paroles. Vieilles chansons d’autrefois... "Douce France ! Cher pays de mon enfance, bercée de tendre insouciance — je t’ai gardée dans mon cœur !" Mon village au clocher, aux maisons sages, où les enfants de mon âge ont partagé mon bonheur : oui je t’aime. Et je te donne ce poème. Oui je t’aime dans la joie ou la douleur, douce (...)