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14 juin 2012, par Naïm Kattan
Avant que je puisse lire en français, deux écrivains égyptiens ont éveillé mon intérêt pour la France et la culture française : Taha Hussein et Tewfik el-Hakim. Encore aujourd’hui, je me souviens de mon émotion à la lecture de Ousfour min al Chark (Oiseau d’Orient) où el-Hakim évoquait sa vie à Paris. Cela fait déjà un demi-siècle et je n’ai pas cherché à relire ce livre, sans doute pour éviter une comparaison entre son expérience et la mienne. Boursier du gouvernement français en 1947, étudiant à la Sorbonne, (...)