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10 avril 2009, par Gaston Leroux
« La main haute, prête à tirer ! » répéta hâtivement le compagnon de Raoul.
Derrière eux, le mur, continuant à faire un tour complet sur lui-même, s’était refermé.
Les deux hommes restèrent quelques instants immobiles, retenant leur respiration.
Dans ces ténèbres régnait un silence que rien ne venait troubler.
Enfin, le Persan se décida à faire un mouvement, et Raoul l’entendit qui glissait à genoux, cherchant quelque chose dans la nuit, de ses mains tâtonnantes.
Soudain, devant le jeune homme, les (...)