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7 janvier 2009, par Yamilé Haraoui-Ghebalou
Elle n’en finissait pas de parcourir ce boyau d’histoire, délabré, sombre et si mal entretenu. Elle passait quotidiennement par ce détour de temps pour gagner la rue basse où circulaient les voitures, les passants, les chalands, les femmes et les enfants dont elle craignait les cris perçants et les gestes brusques. L’instant de la cohue et de l’embouteillage, traditionnel à ces heures matinales, puis elle apercevait dans le lointain les tuiles vernissées, puis les boiseries qui soutenaient l’une des (...)