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1er juin 2012, par Jean-Clet Martin
Peut-on penser la politique en la référant à ce qui ferait son essence ou, à défaut d’essence, la politique échapperait-elle à toute situation qui se laisserait mesurer et ramener à l’ordre d’un savoir ? Nulle essence ne saurait se prescrire à un événement sans que celui si ne cesse de faire valoir son caractère inédit. Mais pour autant nul événement ne peut se ranger sous l’orbe transcendant du sublime. Il ne saurait recevoir sa grâce d’en haut, d’une quelconque sur-éminence. C’est que les mathématiques (...)